
Le biais de négativité, ah il est coriace celui là, comme biais cognitif!

On est TOUS comme ça.

Les médias savent très bien que c’est le sensationnalisme et la peur qui font vendre, plus que les bonnes nouvelles.
On a donc été noyés sous la quantité d’infos négatives, donc déjà que c’est facile de se focaliser sur une mauvaise nouvelle au milieu de 10 bonnes, là on est en plus dans le ratio inverse.
A cela s’ajoutent prise de conscience sur prise de conscience, et quand tu as le malheur d’essayer de t’accrocher à qq chose de positif, on te renvoie tes privilèges et ton déni.


Bon OK, ce biais aide nos cerveaux depuis des milliers d’années à prendre des décisions dans des situations dangereuses.
Mais c’est bon, stop.
On peut être conscient tout en gardant sa joie pour des petites (ou grandes) choses.
90% de ma négativité est « hors sol », elle est virtuelle.
Elle ne m’appartient pas, en fait!
J’ai mes petits et gros problèmes, comme tout le monde, mais cette chappe de plomb permanente est en grande partie due au « contexte », à « la situation ».
Je me suis rendu compte de ça en m’éloignant vraiment des réseaux sociaux, et même des comptes que j’aime bien.


Et répète après moi: « J’ai le droit d’aller bien » !!!
Est-ce qu’on a peur que le fait d’être un peu plus positif nous empêche d’agir, nous anesthésie?
Que couper du négatif permanent nous rende moins empathique ?
Ça vaudrait le coup de s’y pencher non?
Qu’en pensez-vous ?
Certains liens ou codes promo de cet article peuvent être affiliés. Passer par ces liens soutient mon travail.
Pour en savoir plus, rendez-vous ici : CODES PROMO ET MARQUES ETHIQUES
Découvrez aussi mon E-book: « Tordue mais alignée! »