Il paraît que c’est pas bien d’être en colère.
Surtout pour une femme.
Il paraît qu’il faut dompter sa colère.
Ne pas lui laisser trop de place.
Il paraît que c’est une énergie négative, alors Jeanne-Zoé, coach de vie qui se nourrit de lumière te dit qu’il faut l’accueillir, mais surtout la laisser partir.
Eh bien moi je l’aime bien ma colère
On cohabite.
Elle m’indique quand mes valeurs sont bafouées.
Sans colère, on n’aurait pas bouté le nazi hors de nos contrées, les femmes n’auraient toujours pas le droit de vote, et d’ailleurs, on aurait encore sûrement un système monarchiste.
Je l’aime bien ma colère, même si des fois elle me fatigue un peu.
Globalement la coloc’ se passe bien.
Elle me donne un coup de boost dans tout mon corps quand je regarde les infos, et elle impulse souvent mon envie de continuer ce que je fais.
Si un jour elle s’apaisait totalement, je ne serais pas là à vous écrire, j’irais juste élever des poules de réforme dans le Larzac et je laisserais le monde tourner comme il veut, ranafout’ comme dirait l’autre.
Ma colère, elle parle de mon empathie, elle parle de mes valeurs, elle parle de mon intégrité. C’est un système d’alerte.
Bref, ma colère c’est une réaction saine face à l’injustice. Face aux comportements néfastes pour moi et pour les autres.
C’est une réserve d’énergie, même si j’en ai d’autres.
Voilà, alors MERCI, ma colère
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Ooooh que oui j’ai beaucoup de colère en moi qui me submerge parfois !!! Oui il faut s’en servir pour construire et faire évoluer les choses dans le bon sens, mais parfois elle est destructrice envers soi même surtout. C’est un sentiment qu’il faut accueillir comme tous les autres mais quand on se sent mal il faut évacuer . La réflexologie m’a beaucoup aidé à équilibrer les émotions par une sorte de « drainage » des séances régulières sont bénéfiques. A ce stade de la situation de crise sanitaire, où en es tu de ta colère? S’est elle transformée en angoisse comme moi?