Ca faisait un petit moment que j’avais envie de faire cet article, c’est maintenant chose faite !
Bouh les cosmétiques !
On est beaucoup à les adorer…
Problème : ça peut devenir une addiction et plomber notre budget !
A l’approche des soldes, on va voir ensemble comment maîtriser son budget cosmétiques comme une licorne !


Pour tout te dire, je ne m’étais jamais posé la question de la gestion de mon budget cosmétiques. Pour moi, il entrait dans le budget « loisirs/plaisirs» (on verra ça dans la 2ème grande partie) et puis voilà.
Même si j’aime les cosmétiques, je n’ai jamais rien fait qui mette en danger mon budget !

Et puis la question m’est venue depuis que j’ai lancé mon activité en début d’année (voir mon article : “Nouveau blog, nouvelle vie!”).
Non seulement, une partie de mes revenus provient d’affiliations, c’est-à-dire que je touche une commission quand vous achetez quelque-chose par mon biais, mais en plus mon budget cosmétiques n’est plus vraiment une question parce que les marques m’envoient dorénavant des produits pour que je les teste et que j’en parle.
Même si j’essaie par tous les moyens lorsque que vous parle de produits de vous dire d’être vraiment connectés à vos besoins, j’ai eu envie de faire cet article pour que vous puissiez le relire aussi souvent que nécessaire !
Mon but est plus que jamais que vous pensiez à moi lorsque vous achetez quelque chose que vous auriez acheté de toutes façons, surtout pas de vous pousser à l’achat !

 

C’est parti !

1/ Eloigner la tentation

Désabonnez-vous de toutes les newsletters de marques de cosmétiques et de ventes privées.

Désabonnez-vous de toutes les blogueuses / influenceuses / YouTubeuses qui font un placement de produit par publication et qui ne vous apportent rien d’autre.

2/ Faire ami ami avec son budget

Avoir une vision claire de son budget global
Pour ça, je vous invite à relire avec attention le super article d’Herveline, base de la Licornie : “Analyser son budget”.
Le but est de découvrir quel est le budget que vous pouvez octroyer à vos cosmétiques. Il faut que vous le sachiez, que vous mettiez un montant dessus.

Après, il y a 2 solutions pour mettre ce budget dans les cases où il vous semble le mieux convenir :

  • Soit vous l’incluez dans le budget courses (retournez faire un tour sur le blog d’Herveline pour voir ses articles sur le budget alimentaire !)
  • Soit vous l’incluez dans un budget loisirs / argent de poche
    Peu importe où vous le mettez, en fait, l’idée c’est qu’il ne soit pas juste en flottement dans votre budget !

–  Comme pour le budget alimentaire, faire une liste prend tout son sens. Dès que vous voyez qu’un produit commence à toucher à sa fin : go sur la liste. Ca vous permet d’avoir une idée claire de vos besoins et de ne pas acheter un 7ème dentifrice pendant les courses ! Et comme pour les courses alimentaires : on ne stocke pas ! Ca ne sert à rien d’avoir 10 gels douche d’avance, c’est juste de l’argent qui est sorti de ton compte en banque !

– N’hésitez pas à utiliser la Méthode BISOU pour tout ce qui est achat de cosmétiques, elle y est particulièrement adaptée :
Quel est mon Besoin (confiance en moi, réconfort… ?), d’où viennent les produits ? Etc…

Attention aux soldes et aux promotions. Même aux codes promo d’ailleurs, moi je vous en donne de temps en temps mais n’oubliez pas : c’est la liste et d’être au clair avec ses besoins qui prime ! Ensuite seulement on peut acheter un produit en promotion, mais seulement si on l’avait acheté hors promotion !
D’ailleurs, je vous invite à relire mon article sur les soldes: “10 bonnes raisons pour ne PAS faire les soldes”.

 

Minimaliser

Finir ses produits avant d’en commencer d’autres. Je sais, ça peut paraître bête dit comme ça, mais je sais aussi que beaucoup de personnes jettent des produits à peine entamés pour en acheter d’autres. JE DIS NON !!!
D’ailleurs, je vous invite à relire mon article : “Faut-il utiliser, jeter ou donner ses produits cracra?”.
Personnellement ma ligne de conduite est claire : je suis une anti-gaspillage radicale, même si c’est pas bio, même si c’est pas clean. Consommer moins et mieux, OK, mais surtout consommer moins. Il n’y a que ça qui préserve les ressources naturelles et nous fait faire des économies, y a pas de secret !

Minimaliser ses routines, minimaliser ses produits, utiliser le moins possible de cosmétiques et en priorité des produits bruts.
Vous pouvez vous inspirer de « ma routine visage minimaliste » : 2 produits en tout et pour tout pour le démaquillage et l’hydratation du visage.
Et si vous vous ennuyez, vous pouvez-aussi relire mon article “11 manières naturelles de se laver les cheveux”.

Utiliser des produits multi-fonctions
D’ailleurs, les 2 produits que j’utilise pour le visage, je les utilise également pour les cheveux et le corps, en ajoutant du beurre de karité ponctuellement (j’essaie d’en utiliser le moins possible).
Ca ne sert absolument à rien d’avoir : une crème visage, une crème corps, une crème mains, une crème pieds, un sérum machin, un soin des cheveux bidule.
Vraiment. J’ai utilisé ce genre de produits avant, et je peux vous dire que maintenant que j’ai arrêté, ma peau et mes cheveux se portent même mieux. Et mon porte-monnaie aussi, of course.

Faire certains produits soi-même
Y a pas photo, c’est toujours plus économique.
De mon côté je fabrique mon déodorant maison et j’ai aussi fabriqué mes savons.


Pour aller plus loin :
Saviez-vous que les têtes des brosses à dents sont faites de plus en plus longues pour nous inciter à mettre beaucoup plus de dentifrice dessus que nécessaire ?
RDV sur mon article : La règle du « tu divises tout par 2 »

Pour les questions qui vont inévitablement arriver au sujet des marques à utiliser, tu peux lire mon article annuel 2019 sur les marques que j’utilise pour les savons, shampooings, déo et dentifrices.


Je dis ça comme ça mais il faut absolument que tu lises mon e-book “Tordue et alignée !”, c’est pour ton bien!

Certains liens de cet article peuvent être affiliés. Cela soutient mon travail de blogueuse.
Pour en savoir plus, rendez-vous ici : “Codes promo et marques éthiques”